« Moi aussi, je chante en prenant mon bain dans la montagne, mais l’éloignement des lieux fait en sorte que personne ne peut ouïr mon chants merveilleux. Ce qui est en soit, beaucoup plus dommage qu’ignorer d’où provient cette ode magnifique... »
« Néanmoins, je me demande qui captive autant, ceux dont l’écoute est sensible ? »
Elvarielle traînait souvent sur la plage, le soir venue, enroulée de fourrures, une bouteille de champagne à la main pour assister auditivement, une fois la nuit tombée, aux litanies chantées par cette âme mystérieuse. La chaleur du feu était sa seule compagnie, lorsque Nelthys ne pouvait être présent, et ainsi dans sa solitude, elle imaginait qui chantait ainsi. Viendra t’elle ce soir ?