[Bg] Merion

Il était une fois, dans les forêt sylvestre entourant la cité sanctuaire une famille daelwena des plus ordinaire. Mais une chose se distinguait facilement en les voyant. C'était tous pour la plupart une famille très rapproché entre eux. Ils était des créature elfique très calme et emprise d'une sagesse bien aiguisé.
Almirion Merion, père de famille de plusieurs enfants bien éduqué dans la voie de la nature. Il avait trois fils qui se distinguait pour la même engouement que leur pere dans la voie des arc. L'ainé se nommait Aralion, le suivant était Micas et finalement Lunamir.
Bien souvent dans leur jeunesse, ils allaient avec leur père en forêt les enseignant sur l'importance de conservé la préservation pure de cette forêt.
On raconta que Dame nature elle même avait béni cette forêt. Les arbre qui existait dans ce lieu si reposant était incroyable, arbre géant abritant les créature céleste dans leur branche chatoyante. Les animaux était en paix et en sécurité avec les daelwena. Ils était la pour les protégé depuis des millénaire ce lieu parfait.
Il étudiait souvent la bible de la nature, se remémorant chaque phrase par coeur. Leur père tenait a avoir des enfant obéissant et qui aiderait la communauté. Rien était laissé au hasard pour leur éducation.
Voila près de 400 ans que l'ainé était né, le père était rendu agée. Son corps n'était plus aussi rapide et en alerte alors qu'il était un jeune daelwena de 200 ans.
Almirion avait aidé le roi Deltewis dans la constituon de la garde. Il n'avait pas été par contre un de ces fameux chef de la garde. Il avait simplement faite partie de la force de frappe archère. Maintenant, il devait a présent laissé ses enfant perpétué l'héritage Merion. Ce qui voulait dire, devenir des talentueux archer et rendre gloire a la sainte dame.
Père Merion appella ses trois fils dans sa maison arbre durant le printemps. Il devait changer ses habitude qu'il avait depuis pres 950 ans.
Il allait aider en étant un jardinier. Il y avait bien du travail a faire dans certaine portion de la forêt immense.
Les trois enfant arrivèrent a la maison familial. Méliana Merion, la mère de ses enfant les accueuillit dans leur demeure un doux sourire si nostalgique pour les trois jeune homme.

- En quel saison somme-nous mes doux enfant? Demanda Almirion

-Voyons père, vos yeux serait-il si faible a présent? S'exclame les trois frère simultanement.
Riant doucement de bon coeur, il secoua la tête négativement
-Was, was mes enfant. Je tenait a vous dire que nous somme dans le renouveau. La saison auquel Dame nature nous réconforte par cette température douce. Les frere arbre qui se réveille enfin. Les oiseaux migrateur qui reviennent se reproduire dans cette forêt si spécial.
Un début prometteur pour la saison. Maintenant, vous ête la relève pour les vieux combattant qui ont mon âge a présent. Votre vigueur doit- etre utiliser a bon escient. Vos don pour le bien-être de cette cité et ce qu'elle représente. L'amertume, la vengeance et désir de couler le sang ne doit jamais vous envahir malgré les hostilité des créature paîennes qui agissent a leur guise ne sachant entre le bien et le mal.
Telle le printemps qui nous rafraichit par son arrivé, vous trois, vous me comblez de bonheur par votre jeunesse.
Je sais que vous ferez ce qui serait juste pour nos ancêtre. Ne tombez pas dans les vice comme certain d'entre nous, malheureusement, les paîen influencent les plus jeune d'entre nous malgré eux. Vous serez les pilier de la préservation des valeur daelwena. Soyez sage mes enfant, que dame nature bénisse vos action.
Allez! Allez a présent faire votre devoir de protecteur. Accomplissez avec dignité et fiereté.
Puis avant que les enfant partent, ils leur tendit un arc a chacun inscruté de signe sylvestre.
Aralion, micas et Lunamir abaissèrent le torse respectueusement devant leur père visiblement heureux et fière d'avoir la confiance de leur père.
-Tael a vous père. Que Dame nature vous protège! Souffla chacun des enfant.
Ils repartirent en forêt le dos droit et digne de la bénédiction de leur père.
Leur défi commenca et il accomplirait avec le plus grand zèle.

Ceci est l'histoire d'Aralion Merion.
Alors que les arbre bourgeonnait, le ciel était si magnifique et que les petit oiseaux chantait dans les branche de la maison arbre de la demeure Merion.
le clan des loup croc blanc vivait pres de la maison de ses calme daelwena.
C'est alors qu'un petit crit d'enfant se fit entendre depuis bien longtemps.
Les oreille des loups se relevèrent visiblement curieux et agacé par ce bruit bizare.
Le premier souffle d'Aralion était au printemps. Il était l'ainé de la famille Merion. Depuis sa naissance jusqu'a aujourd'hui, Aralion était un enfant frêle et doux mais qui avait une bonne tête sur les épaule. Il était assez grand pour un daelwena, peut- etre pour compensez pour son physique peu costaux. Il avait hérité d'un apparence plûtot migon, il avait les trait visiblement crispé comme plusieurs des autre daelwena. Ses yeux percant avait toujours tendance a observer au loin, comme s'il avait la possibilité de voir quelque chose que les autre ne verrait point. Le regard vers le futur, il aspirait dignement une vie que son père aurait l'honneur de lui dire qu'il en serait fière. Il était rudement agile et rapide, il s'entrainait souvent pour parfaire physiquement ses défaut telle la force.
Son pére lui rappellait souvent pour entrainer l'esprit,qu' il devait aussi entrainer son corps. Étudiant sans relâche la sagesse des ancien dans les livre, il devint un jeune daelwena mature et sage. Il avait les cheveux doux et lisse comme les brin de blé, les yeux vert mais musculeusement parlant, il avait encore longtemps a travailler malheureusement. Toutefois, il était grand et mince.
Il avait plaisir a aller courir dans les bois avec ses frère loups tentant de les imiter dans la chasse. Il écoutait la nature comme son bon père lui recommandait a mainte reprise, il devait comprendre ce qui lui entoure et ne faire qu'un entité avec elle. Avec le temps, il éprouva une bonne amitié avec le clan loup croc blanc depuis plusieurs génération. Cela faisait la vingtième génération qu'il entretenait avec ceux-ci.
Aralion était agé a présent de 400 ans. Il avait l'apparence d'un homme hastane de 35 environ pour les paîens. Il éprouvait un recul a l'apparition d'un non daelwena lorsqu'il en voyait pres des frontière de la forêt. Plusieurs de la communauté disait qu'il influencait malsainement la race des daelwena avec leur vice corrompue. Il était mieux de simplement pas avoir de lien trop fort avec eux.
Il appréciait les tradition qui se perpertuait dans cette race, il ne voyait rien qui demandait changement comme certain de ses jeune daelwena trop attaché a leur teldilim paîen. Il grimacait a leur manière si peu respectueux envers dame nature et la forêt.
Aralion éprouvait un grand sentiment de fierté pour sa foret et sa cité qu'il avait juré a dame nature que même la mort ne l'arreterait pour la proteger. Empreint d'un certain dévouement plus qu'a l'ordinaire, il aspire qu'a garder la pureté de la forêt des race paîennes.
Aralion avait peu de fois entrer dans les cité de pierres et sans vie des autre race. Rare qu'il osait entrer dans c'est monde tordu et pollué. Il gardait pour lui meme se sentiment de crainte claustrophobique. Le fait de ne plus se reconnaitre dans une cité le mettait mal a l'aise. Aucun point de repère, des odeur nauséabonde imprégnait les cité de pierre. Il avait un sentiment de se perdre en c'est lieu ci, il redoutait les ville populeuse, préférant plutôt visiter les brave nalkiris a quelque occasion.

A présent qu'il avait recu la bénédiction de son père pour devenir un guerrier archer, ce qui lui convenait le plus physiquement vu qu'il était peu costaud. Il s'entrainait a tirer a l'arc et approfondir ses connaissance d'archer dans la bibliotheque de la cité. Il murissait de jour en jour et son engouement était toujours aussi empreint de bonne volonté et de zèle envers dame nature. Avec ses deux autre frère archer telle Micas et Lunamir, ils deviendront une famille honorable et fière de faire partie de la garde daelwena. Il aspirait qu'a faire le bien envers la nature et la communauté. Avec ses teldilils loups du clan croc blanc et ses frère, ils allerent sans relâche en forêt patrouillant pour la pureté de la sainte dame et de sa forêt bénie.
Rien et personne de pourra l'arrêter d'accomplir son rêve de devenir un bon archer. Que la sainte Dame Nature bénisse ses actions!

L’air était pur ,dehors le ciel était peint de rose de bleu et de violet. Le soleil encore un peu timide se faisais attendre tranquillement avant que ses doux rayon réchauffe les être vivant dans cette belle citée. On pouvait entendre le murmure des douces et rafraîchissantes chute couler dans ilildelwis. De petit craquement se faisait entendre et les feuilles verte claquais on grés d’un vent tiède. Le sol donnait l’impression que des milliers de perles scintillais mais de proche on s’apercevais que la rosée s’étais bien installer dans l’herbe verte et fournie. Les arbre fruitiers étais bondé de fruit au couleur multiple et au arôme odorante. On pouvait entendre tranquillement les habitant commencer à se levée d’un sommeil profond et serein. Dans un petit coin reculer de la forêt on pouvait entendre un souffle chaud et un cœur au rythme acharner. Un daelwena étais, de manière acrobatique, en train de grimper sur un gigantesque arbre . Ses cheveux avaient l’aspect d’une crinière d’or au reflet argent. Ses yeux vert étais emprunt de fougue et d’aventure .Ses lèvres étais douce comme le miel. Son être dégageait des parfums de myrtille et de poire. Il avait les doigts élancé et fin, prêt à toute forme d’art. Il était grand et le corps mince mais on pouvait voir qu’il s’entraînait à chaque jours. Son visage était jeune et un peu naïf. À chaque matin Lunamir allait s’entraîner dans les arbre souvent seul et d’autre fois avec ses 2 autre frère Lowanel l’aînée suivit de micas et malkai. Après sont entraînement acharner le jeune lunamir allait grimper en haut de la montagne pour pouvoir profiter des bain et admirer la vue d’ilildelwis. Il regardait du haut de la montagne les habitant profiter de calme et de la sérénité de la voluptueuse et magnifique citée. Lunamir avait voué sa vie à mère nature en se faisant moine. Il apprenait l’art du combat rapproché avec son frère micas. Il allait souvent méditer au temple dédier à mère.Sa vie tournait autour de la nature et chaque mouvement qu’il faisait étais en harmonie avec la nature. Lunamir étais emprunt de sagesse comme la plupart de ses contemporains, grâce au longues heure de méditation il en découlait un être calme et paisible. Il éprouvait un vif plaisir à écouter les sages et les plus expérimentés qui parlait de vielle légende inconnue pour Lunamir, cela lui rappelait les journée a parler avec son défunt père. Lunamir avait acquis de ses régulier balade au prêt des nalkiri le goût de la fête . Il aimait partir par une belle après-midi d’été avec une bouteille de vin et quelque baie aller visiter ses chers compagnons de forêt.Il aimait discuter de sujet simple avec ses cher amis. Lunamir avait voué sa vie à la forêt ,il jura de la protéger et de la chérir toute sa vie et peux importe le sacrifice qu’il devait faire…

Au premier jour du huitième mois, Micas vit le jour, dans la forêt de Woialë. Méliana et Almirion, parent de Micas, était très heureux d’avoir enfanté leur deuxième enfant. L’un de leur fils, Lowanel, était enjouée d’avoir son premier petit frère. Au cours des années, Micas restait le plus clair de son temps avec sa mère, tentant d’avoir d’absorber le plus de connaissance pratique. À travers les années suivantes, Micas grandissait en s’épanouissant de plus en plus. Quand il atteint son premier siècle, son père commença à le former à l’art de combattre. Mais même si Méliana était un peu réticente à cette idée, Almirion lui déclara :

« Ma chère, nous devons élever notre cher petit Micas, maintenant devenu prêt à cela. À son âge, il doit être prêt à certaine éventualité de la vie.»

Souriant à sa chère femme, il se dirigeait vers le centre d’entraînement. Se retournant vers Micas, Almirion lui faisait signe de la main, l’invitant à le rejoindre à ses cotés. Et les années continuèrent d’avancer, et le père Merion reconnaissait un certain potentiel au combat pour son fils.

« Tu grandit si vite Micas. Tu apprends très vite et j’en suis fier. Maintenant que tu as atteint un certain potentiel, je vais pouvoir enfin te laisser aux mains de ton plus ainé, Lowanel. Je veux savoir s’il peut t’enseigner les voies les plus profondes de notre race et de leurs ancêtres. Va vers lui, et je vous guiderais tous deux. »

À partir de ce jour, Lowanel et Micas formèrent un lien, entre frère, très puissant. Ils mangeaient, jouaient, s’entraînaient, apprenaient ensemble. Mais à travers les entrainements, Almirion comprit que chacun de ces fils avait une certaine affinité au combat. Un certain jour, Micas fut appelé par son père. Rendu à ces cotés, Almirion lui dit :

« Mon fils, j’ai vu tes progrès au côté de ton frère. Je vois que vous avez chacun vos points forts. Je dois te montrer un endroit qui te sera plus propice à ton apprentissage pour ton futur. »

L’amenant dans la montagne de la cité, Almirion lui montra le temple et l’endroit réservé à ceux voulant plus servir la cause d’Aeltisis.

« Vois-tu mon fils, ici l’apprentissage sera plus grand. Tu noueras de meilleures relations avec notre chère Dame. Elle te guidera dans ton cœur et aussi dans tes actions les plus lointaines, dans le futur. Je voudrais que tu y consacre une bonne partie de ton temps. »

Guidant Micas dans le reste du complexe de bâtiment, Ils arrivèrent au centre d’entrainement. Micas était émerveillé par le style et l’allure de l’endroit. Son père le présenta à un des responsables de l’endroit.

« Mon fils voudrait rejoindre les entrainements régulier que vous tenez ici. Il serait des plus honorés de rejoindre votre connaissance et votre art des plus poussés au corps à corps. N’est-ce pas Micas ? »

Fixant son fils des yeux, Almirion lui mit la main sur l’épaule, acquiesçant de la tête. Micas, les yeux remplit de bonheur, hocha de la tête vivement.

« J’en serais ravie! »

Et le temps passa…..

Maintenant que Micas atteint son 253 ème printemps, il était devenu un homme. Sa grandeur excédait celle de la moyenne des autres Daëlwena. Ses cheveux étaient d’un brun clair, comparé au bois sculpté par un ébéniste. Micas portait, la plupart du temps, les vêtements officiels de ceux appartenant plus particulièrement au clergé. On pouvait remarquer des bandages à ses poignets. Certaines écritures anciennes Daëlwena sont visibles sur certains de ses pansements. Mais maintenant, son père était fier de lui après tant d’année dans les études de la race et de la compagnie des autres frères et soeurs. Après avoir servit quelques boissons sur la table, Melania souriait à son fils, Micas, devenu un homme fier de l’être. Entrant dans la salle à manger, Almirion s’adressa à sa femme et lui dit :

« S’il te plaît ma douce, pourrais-tu nous laisser quelques instants. Je dois avoir une discussion plutôt sérieuse avec notre fils. »

Hochant la tête, elle se retira. Almirion invita son fils à s’asseoir à la table. Tous deux biens installés, Almirion fixa son regard sur Micas. Ouvrant la bouche il déclara :

« Micas! Tu es devenu un homme vraiment impressionnant. Pendant les siècles de ta vie, tu as pu prouver que tu étais digne de représenter le nom de notre famille. Ta mère et moi sommes très fiers de tes progrès et de tes accomplissements. J’ai pu déceler certaines qualités qui ressortent de toi. J’ai pu remarquer le naturel que tu a en discutant avec ton entourage. Certains frères sont venus me donner des commentaires positifs sur ta personne et sur ton savoir vivre. Même certaines soeurs. *clin d’œil*. Je vois aussi que tes habiletés manuelle et au combat ce sont accrus grandement. Continue comme cela. Même si tu as beaucoup de côté fort, certains de tes faiblesses ressortent parfois. Ta férocité au combat semble instable. Il te serait bon de pratiquer ta méditation pour pouvoir retrouver ton calme plus souvent. J’ai aussi remarqué que ton attirance vers les boissons bien fermentées est un peu grande. S’il te plaît, prend garde à cela. Un peu de vin fait du bien, mais trop mène à la honte. Retiens bien cela ! »

Se levant de sa chaise, Almirion prit une grande respiration. Après avoir déposé sa main sur l’épaule de son fils, il dit :
« Mon fils... Va! Accomplis ta destiné et rend gloire à Aeltesis et à notre grande race. Le chemin de la vie te mènera loin. »

Micas, se levant de sa chaise, souriant et l’air fier :

« Merci père. Je ne vous ferais pas honte et je porterais dignement le nom de notre lignée. Moi et Lowanel seront toujours à tes côtés, quoi qu’il arrive ! »

Sur ces derniers mots, Micas sortit de la maison familiale et se dirigeait vers la cité, le pas confiant. Cela n’était que la continuation de la vie de Micas. Il en restait long à raconter…

Dans les profondeurs de la forêt éternelle vivait un jeune adulte daëlwena qui se nommait Lowanel Merion.
On raconta qu’il naquit en même temps que les premières fleuraisons du printemps il y a de cela 322 ans.
Reconnu pour sa douceur et sa profonde obéissance à ses parents, il fut un jeune daëlwena qui apprit rapidement les différentes tâches qu’Aeltisis s’attendait de son peuple béni.
Chaque matin, il allait au pied des sages, à l’entrée de la cité, les écoutant parler des différents récits épique que la race traversa à mainte reprise.
Le regard fier et l’esprit rapide, il était un jeune daëlwena qui était motivé à accomplir le bien de la race.
Il aimait particulièrement observer les dignes légions de sa race partant défendre les terres sacrées avec acharnement.
Visiblement impressionner par ces guerriers fidèles, il se promit à lui-même qu’il en ferait de même lorsqu’il sera adulte.
Le temps avança et devint un adulte à part entière, dévoué à la conviction de sa race.

Chaque jour, il aimait observer la beauté de la nature. Il avait un regard reconnaissant envers Aeltisis d’avoir offert à sa race bien aimé ce tel spectacle.
Rien n’était plus important que sa grande déesse Aeltisis et ses principes qui animait son zèle pour la nature.
Ses parents avaient pris l’importance de l’inculquer dans les différents enseignements de leur ancêtre et la prescription divine enseigner par la prêtrise.
Le temps avait façonné son cœur et ses convictions sans borne pour les membres de sa propre race.
Reconnu pour sa dévotion totale au respect de la sainteté de la forêt éternelle, il ferait de son possible pour accomplir sa mission demandé au peuple daëlwena par Aeltisis.
Il n’est pas rare de le voir accompagné les éclaireurs de l’armé céleste parcourir la grande forêt éternelle en quête de quelconque païens qui oserais outrepasser les terres sacrés.
La préservation de la pureté de la forêt était un facteur important pour tout daëlwena, aucun membre de la communauté resterais immobile à ce tel affront.
Emprise d’un engouement sans borne pour les siens, il n’était pas rare de le voir aider les sien par n’importe quel moyen possible.
L’unité est un facteur important à ses yeux, car si nous somme unis, rien ne pourra nous arrêter d’accomplir notre destiné.

Maintenant âgé de 322 ans, Lowanel semblait être une personne visiblement mature, physiquement parlant.
D’une grandeur approchant les 6 pied et 4, il semblait plus grand que le commun des daëlwena.
Des doux et long cheveux vert lime tombait jusqu'à ses épaule reflétant que celui-ci faisait attention à lui-même.
Des yeux perçant assortie d’un vert foncé. Son regard était impénétrable. Lowanel semblait observer au loin, comme s’il avait la possibilité de voir quelque chose au loin que les autre ne verrait point.
Son visage reflétait la sérénité et semblait afficher un calme intérieur.
Il est visiblement un homme à l’apparence magnifique, les traits de son visage étaient sans équivoque.
La tonalité de sa voix était douce et lente, mais tout étant prise d’une confiance en soi.
Lowanel arbore fièrement les vêtements et arme de poing traditionnel de la ligné Merion que son père lui avait offert voilà quelque siècle.
Ce jeune daëlwena affectionnait particulièrement se camoufler dans la forêt au gré des couleurs des saisons, auquel aucun patrouilleur de la forêt n’oubliait ce point crucial qu’est le camouflage.
Ses armes de prédilection était les petite lame facile à caché dans les plie de ses vêtement, mais il semblait encore être au simple stade de l’apprentissage de l’art du combat singulier.
Son long entrainement en forêt avec ses frères semblerait porter fruit dans un avenir rapproché, confiant dans ses habiletés, il deviendrait un habile combattant au service de l’armé céleste.
Une triomphante musculature semblait arborer son corps garnit de cicatrice le long de son dos.
C’était le résultat de s’avoir perdu dans la ville fortifié des Hastane durant un voyage avec ses parents et d’avoir tombé du haut d’une corniche.
Depuis ce jour, il semble très inconfortable a pénétré les grandes villes de pierre des autres races, visiblement donnant naissance a la claustrophobie.
Il ne semblait trouver aucun moyen de repère dans ses grandes villes polluées et tordues.
Il redoute depuis ce jour d’entré dans l’une de ses cité froide et sans vie. Même ses propre sens aiguisé d’habitant de la forêt semble disparaître quand il est dans une grande ville.
Le peu de nature qu’on y retrouve dans ses grandes forteresses le rend terriblement mal à l’aise, préférant s’abstenir d’y entrer, sauf en cas de nécessité.
Ce jeune daëlwena avait besoin totalement de la nature, sous peine d’être perturbé psychologiquement parlant.
Lowanel éprouvait souvent du recule à l’apparition des païens.
Plusieurs de sa communauté disait qu’il influençait de manière malsaine la race des daëlwena avec leur vice corrompues.
Il avait arrivé à la conclusion de ne pas trop les fréquenté, sous peine de tombé dans leur déchéance morale.
Méfiant envers ceux qui n’adoraient point Aeltisis, il semblait peu diplomate avec les races païennes.
La préservation des traditions daëlwena était une chose importante à ses yeux.
Il ne devait point être perturbé par les enseignements belliqueux des autres races non- croyante.
Lowanel avait pris le choix de s’enrôler prochainement dans les troupes de choc militaire de l’armée céleste.
Son chemin qu’il avait tracé l’apporterais inévitablement à ce choix judicieux, hâtif d’accomplir sa destiné, il tentera de le faire sans faute et avec foi.
Ce jeune daëlwena sera-t-il à la hauteur de ses attentes?
Seul le temps nous offrira une réponse à cette interrogation.
Qu’Aeltisis puisse lui offrir à ce jeune Lowanel un futur brillant!