Enfin Ceci est un Bg de mon autre personnage sur un autre shard, je tenterais de l'adapter au Dael en le transcrivant ^^
Chapitre 1
Dans une journée d’hiver, à l’extérieur de la citée, nous pouvons entendre quelque chose, un petit bruit presque inaudible. Marchant d’un pas calme et distingué, une silhouette se forma. Peu à peu, cette silhouette alla vers un garde lancier.
Le Lancier, Sous ses gardes, empoigna vivement sa lance et la serra. À la vue de ce qui se présenta devant lui, il desserra sa lance et dit : Bonjour Dame, et bienvenue dans la glorieuse citée.
La Dame, Mesurant environ 5 pieds et 2 pouces soit environ 1 mètre 57, Pesant dans les 90 livres donc 41 kilogrammes, s’avançait vers le garde, en le salua brièvement de la tête.
Le Lancier regarda la jeune femme devant lui et la regardait complètement, de la tête au pied. Devant lui, se dresse une femme de petite envergure, avec une belle silhouette, peu garni à la poitrine, des cheveux longs et attachés sous une couette, s’envolaient lentement sous le souffle du vent.
Le Lancier se brassa légèrement la tête et continua sa question à la dame : Dites Chère Dame, comment allez-vous?
La jeune femme, répondit en hochant la tête, et pointa ensuite le Lancier d’un regard interrogateur.
Le Lancier, sourire aux lèvres, pensa donc que la jeune femme était très timide. Donc il lui répondit : Moi, je vais très bien. Certes il fait un peu froid, mais nous pouvons très bien passer au travers de ce petit climat pour faire notre garde, il faut protéger la glorieuse.
La jeune femme lui souriait, c’est alors qu’elle faisait plusieurs gestes incompréhensibles, le Lancier ne comprenait guère.
Pardis! Dit le Lancier, À quoi voulez-vous jouer chère Dame, Je suis en patrouille je ne peu m’amuser en ce moment.
La jeune femme, mis son sac à dos devant elle et sorti : Une plume, Un Encrier ainsi qu’Un livre.
Elle semblait gribouiller quelque chose, ensuite elle le montrait au Lancier.
Sire, Ceci n’était point dans mes intentions, je voulais simplement communiquer avec vous, m’amuser aussi je ne veux point, je suis épéiste, donc un entraînement ardu m’attend je pourrais m’amuser plus tard. La raison de ces gestes est que, je suis muette, Sire, je le suis depuis ma naissance. Voilà ce qu’elle a gribouillé dans son livre.
Le visage du lancier a la peau légèrement basanée, se blanchit d’un coup raide.
Le Lancier poursuivit : Je… je… Dit-il en déparlant, Je ne savais point chère dame, mon quart de travail est fini, si vous voulez bien nous pouvons aller à un endroit réchauffé pour parler et… é…é…écrire.
La jeune femme d’un coup sec, hocha la tête, toute souriante a l’invitation du garde.
Les deux s’en alla brièvement vers une petite maison, une taverne ou une auberge qui sait, les derniers mots du lancier furent : Au fait, chère Dame quel est votre nom?
La jeune femme montra la couverture de son livre, laissant dévoiler un mot, enfin son nom : Anaha.
Les deux jeunes personnes disparaissaient dans les lueurs du crépuscule maintenant.
Chapitre 2
Une journée s’était levée une fois de plus pour Toyalis, les ombres, dansèrent lorsqu’il bougeait pour se réfugier de la lumière ardente du matin. Vers l’arène, on pouvait entendre du bois fracasser. Lorsqu’on s’y approchait l’on pouvait distinguer des ombres se battait, l’une a épée longue à deux mains et l’autre avec un sceptre, un long bâton de bois.
Le mage qui se battait, Hidalmar, on pouvait distinguer, qu’il se combattait avec une telle agilité, en d’autre terme, ce n’était sûrement pas son premier combat. L’épéiste de son coté, elle, semblait à ces débuts, mais en revanche se débrouillait très bien même face à cette adversaire redoutable, son Teldilim.
Des coups de bâton dans les jambes, d’autre dans les coté, rien ne semblait déranger cette épéiste, son regard toujours aussi vide et semblant fixer quelque chose, ne bronchait point. D’un grand coup de bâton, elle reçoit un coup dans le flanc droit, sur ce coup, elle fléchit, Brehan qui était non-loin de là. Resta un peu surpris face à la constitution de la jeune femme, mais fléchir à ce coup? Pourquoi? Anaha, se releva d’un coup sec, balançait sa lame de bois de bas en haut d’une attaque surprise, le mage, eut le temps de justesse d’éviter ce coup en le parant avec sa cape. Le Chevalier du Créateur, surpris par la technique de cette jeune épéiste semblait réfléchir et s’en alla après vers son quartier.
Continuant le combat qui dura depuis quelques heures, les fronts en sueur et la respiration rapide, ces jeunes andils, semblait fatigué, Anaha encore débutante au combat, laissa tombé sa garde pendant un court instant, et Hidalmar la fit tomber au sol, l’entraînement fini enfin.
Après de multiple échange d’écrits et de paroles, les deux Teldilimrentrèrent chez eux pour se reposer, un repos très bien mériter même. Anaha elle se dirigea vers une petite province non loin de Ilidelis, Veitra. Arrivée à ce petit village, plusieurs villageois la saluèrent semblant bien la connaître. Une petite maison dans une prairie a l’écart du reste des autres bâtiments se tenait debout. La maison était en bois et en paille, elle semblait très vielle et plusieurs personne baissèrent la tête quand Anaha rentra dans la maison.
Deux Daelwenas se tenaient devant Anaha quand elle est rentrée, Anaha se jeta dans les bras de l’elfe male. Celui-ci la prenant dans ses bras et la fit tournoyer quelque peu en fessant une rotation sur lui-même.
*Les parents d’Anaha et elle, ont développé un langage gestuel bien a eux autres, dans le texte qui suit, toutes les paroles sont des gestes, pour des raisons de comprendre, le texte va déjà être traduit.
Mais, Cela fait longtemps ma belle petit Anaha que l’ont c’est vu, que t’arrive t’il de bon? Dit le père à l’aide de geste.
Et bien, je suis établise dans la glorieuse citée Ilidelis. Répliqua Anaha en geste.
Son père lui sourit, semblant fier de ce que sa petite fille est devenue.
Anaha reprit en gesticulant : Comment va votre... Malédiction, semblant hésiter dans ses gestes.
Sa mère lui répondit, en gesticulant encore : Elle va bien, mais je me sens faiblir de jour en jour, j’espère qu’un jour je serais libéré de celle-ci, je souhaite tellement vieillir comme un elfe et was comme un humain.
Anaha et ses parents, discutèrent pendant deux bonne heure, après quelque salutation et un souper bien mérité, Anaha expliqua qu’un autre entraînement ardu l’attendait alors ses parents la laissèrent partirent, tous deux la saluèrent au loin sur le perron de leur maison.
Anaha reprit la route dans la forêt, elle semblait reprendre la route vers sa ville natale, les larmes aux yeux, personne ne savait pourquoi, mais peut-être un jour ces personnes le seront…
Chapitre 3
Les oiseaux, volait a basse altitude, ils étaient si beaux, quelque nuage s’attachait au ciel bleu. Marchant de la prairie, Anaha regarda ce magnifique paysage quelle avait au-dessus de la tête.
Anaha s’en allait comme à chaque fin de dure journée, vers son village natal, dans une plaine située a coté d’une montagne. Tout semblant si heureux, et bon de vivre, le léger souffle du vent caressait tous êtres et plantes se situent dans cette plaine.
Anaha, ferment les yeux tout en marchant et en prenant de bonne bouffé d’air! Ah! comme c’était bon de vivre…
Tout d’un coup, elle se retourna vers la droite, une flèche alla se poser à coté de son pied droit. Anaha regardant vers ou la flèche venait, puis vit plusieurs elfe de son village, surprise elle Dégaina son épée, la sortant de son fourreau, son épée fit des étincelles. C’est alors que le vieux du village, s’approcha lentement d’Anaha, puis, D’un ton ferme et sévère, il dira :
Anaha fille de Jusiart d’y Forgya Veillez me suivre, Il attendit quelque instant que quelque minime secondes, et rajouta, Immédiatement!
Anaha fit un air très interrogateur, puis suivi l’âgé du village, et arriva dans le petit village, une centaine de personne entourait la maison d’Anaha.
Anaha, Couru vers sa maison et entra, essoufflée a bout de souffle. Arrivée a la chambre de ses parents, elle les aperçu, mort tous les deux, dans le lit, mort de vieillesse, mort a cause de… ces sorciers…
Tout d’un coup, Une boule d’énergie noire sorti de ses parents, montait vers le plafond de la chambre. Cette bulle semblait prendre soudain de l’ampleur, puis une boule mauve sortie d’Anaha, Elle Cria de toutes ses forces, plusieurs larmes commencèrent a ruisseler tout le long de son visage pour ensuite aller s’absorber sur son chandail.
WAS! S’écrit-elle soudain, Pourquoi? Pourquoi sitôt?
La jeune femme mit ses mains sur sa bouche, elle pouvait enfin parler, Et maintenant elle savait que la malédiction des d’Y Forgya était lever, aucun autre malaise ne pouvait la gêner, maintenant Anaha comprend tout maintenant. Les deux boules d’énergie ont maintenant disparu, les corps son disparu avec, Anaha se leva tranquillement et alla vers la porte.
Le vieux du village, l’attendait à la sortit, puis dit, Heureux Malheur pour vous Anaha, maintenant vous pouvez parler, mais… le prix a coûté cher, très cher pour toi…
Anaha ne savait plus quoi faire, sourire ou pleurer? Mais soudain, elle savait quoi faire, Parler, oui elle alla parler enfin, parler à quel point ses parents ont été courageux.
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